Panique sur la ville - Première mission

P : Kabrial

- EUH !

Si les autres passagers avaient prêter attention, ils auraient pu entendre l'exclamation de surprise de Karl. Mais personne n'avait entendu, le puissant coup de feu résonnait certainement encore dans les oreilles de tout passager se trouvant à ses côtés.

Kabrial se sentit encore plus fort qu'avant. Son instinct inhiba sa peur. C'est autre chose que le paint-ball ce PAMAS, pensa-t-il.

Dans la continuité, il reproduisit son acte. Un, deux, puis trois coups de feu se fit entendre. Trois coups de feu. Trois balles. Deux dans le torse de l'une des bizarreries organiques, et une dans la tête d'une autre. Karl ne visait pas vraiment, il se contentait de tirer dans le tas. Avec quatre balles il venait de repousser 3 zombies. Un bon titre de film ça, trois zombies à titre posthume. Seulement ça n'était pas trois zombies qui se trainaient par ici, mais visiblement toute une horde.

Deux zombies étaient en train de monter à cette fenêtre béante. Malgré la taille de la fenêtre, on percevait difficilement ce qu'il y avait dehors, mais il semblait qu'il n'en restait vraiment plus que deux à cet endroit. Karl cette fois-ci tenta de s'appliquer, il fallait économiser les balles. Avec finesse et précision, il pointa le bout du flingue vers le zombie le plus proche.

Il allait tirer.

Dans la panique, un passager bouscula violemment Karl. Le PAMAS glissa de sa main. Il tomba sous un siège. Le siège sur lequel se tenait debout le zombie qu'il allait abattre. Est-ce le revers de la médaille ? On ne pouvait pas faire mieux, pensa-t-il. Il fallait faire quelque chose. Tout le monde était occupé. Karl n'était pas du genre à appeler à l'aide ; en général c'était plutôt les autres qui le solliciter.

Pas le temps de réfléchir, à mains nues Kabrial s'approcha du curieux monstre. L'autre zombie avait rejoins son compère. Kabrial esquissa un mouvement d'hésitation.

Puis bien décidé, il fonça dans le tas. Il sentait qu'il avait toujours l'avantage tant qu'il serait que deux.

caporal : - Commissaire, allez sécuriser l'arrière du wagon, je me charge de la porte.

Un signe de tete et elle etait partie. Elle arriva a destination rapidement les autres passagers etant tous agglutinés contre les vitres du fond. Elle porta sa main a son flanc gauche pour extirper son arme de service de son holster et pressa le chien, prete a tirer pour tuer. Elle s'apperçu alors qu'elle avait un peu d'avance sur ses assaillants. Les quelques secondes qui la separait de l'instant t lui semblait durer des heures. Elle pouvait les entendre grogner et voir leurs ombres s'avancer, rampant, se tordant tel de vulgaires pantins desarticulés. Un frisson glacé lu remonta du creux des reins jusqu'en haut du crane, lui faisant dresser les cheuveux sur la tete. Elle se figea un instant pendant que cette question simple lui traversait l'esprit : "mais qu'est ce que je fout la, bordel?". Elle reveint a elle, visa, tira. Touché! en pleine poitrine qui plus est. Une premiere creature s'etala au sol. Un deuxieme coup, mais elle n'eut pas la meme precision que precedement, elle en toucha un a l'epaule, il vacilla a peine et continua sa course droit vers elle.

Elle etait seule et n'avait que 2 chargeurs, elle ne pouvait pas se permetre de gacher des munitions. Sans celui qu'elle venait d'abattre, Quatre creatures se presentaient encore par la porte du fond... Elle tira encore et acheva celui qu'elle avait precedement blessé. Mais quand Catherine s'appretait a viser a nouveau elle entendit des cris derriere elle:

Schultz : - Il faut que quelqu'un s'occupe de lui !

Chuchotements : - Il l'a mordu, au mon dieu il l'a mordu!

Elle se retourna et vit un jeune homme assit sur un siege se tenant la cheville en pleurant et l'homme qu'elle avait delivré ac l'aide de la brute quelques instants au paravant qui se tenait devant lui et le defendait comme il pouvait...

HP : Teincher

Et hop, la suite.

P:
Les défenses s'organisent. A vrai, elles sont pitoyables mais formiable en fonction des moyens. L'horreur à l'état pur de tout les cotés face à trois personnes armés et une masse de civil désarmés et désemparé.

// Fenêtre

Ce coté ci fut bien protégé, malgrés la perte de pistolet. En combat à main nue, Kab s'en sorti bien. Si on fait preuve d'en tant soit peut de coordination et de détermination, tels que fut le cas pour Karl, un combat à un contre un est gagné d'avance (si on ne se fait pas mordre).
Il réussit à renvoyer vers l'extérier l'assaillant (qui laisse un morceau de chair sur le verre trancha encore solidaire du pourtour de la fenêtre.

// Arrière

Le piège fonctionna et stoppa la première vague d'assaillant, par l'action combiné de la commissaire et des deux défenseurs qui ont prit spontanément les "armes". La seconde vague se fait attendre (mais bien entendre! comme l'indique les cris venant du wagon juste avant le votre).

Celle-ci finit par arriver, un par un. Ce ne fut pas très difficile pour la commissaire pour les neutraliser, surtout que la majorité des zonzons sont resté dans le wagon précédent.

// Avant

Le caporal tira au coup par coup au départ. Puis, perdant patience se mit à tirer des petites rafales, parfois dans le vide (tir de barrage?).

Arrive le moment fatidique où il doit recharger. Un zonzon arrive à monter durant ce laps de temps. Le caporal lui envoyant un magistral coup de rango dans la face, ce qui eu pour effet de l'envoyer valser vers l'extérieur du train. Content de lui, il mit la main à sa ceinture pour en tirer un chargeur.
Malheuresement pour lui, un autre zonzon, se hissa à son tour par la porte et le caporal est mis à terre. S'en suis un combat à main nu. Le comabt ressemble à de la lutte et en fait, le caporal s'en sort bien. Sauf qu'en lutte, on ne mord pas son adverssaire, chose que fit l'assaillant. Une belle morsure en plein dans la gorge avec pour effet immédiat, un cri de douleur et un jet de sang (surement une artère de coupé... enfin sectionné).

Le zonzon se léve avec un regard (si tant est qu'on puisse parler de regard) victorieux et un petit rictus au niveau des lèvres. Ce fut la seule chose que son visage difforme afficha, à jamais.
Une balle, venu de l'extérieur, entra par la porte ouverte et le frappa de plein fouet, laissant un corps sans tête debout qui mis 10sec pour tomber.

Après ce coup de feu unique (passé inapercut au milieu de la mélée), une fusillade éclata à l'extérieur. Des balles crépitent contre la paroi. La plupard des passagers se couchent à terre.

// A vous

Info : il reste un zonzon qui arrive par l'arrière, c'est tout.

HP : en fait c'est 2 zomb' tein' que j'ai dégommé. enfin on va dire que je les ai dégommé

P : Kabrial
Légèrement essouflé, ça n'avait pas été très difficile de dégager ces agresseurs. Néanmoins, Karl avait sous-estimé la force de ces monstres. Leur vivacité en fait habillait des effets de surprise. Ce qui ne manquait pas d'angoisser les passagers qui s'attendaient maintenant à ce que des zombies déboulent de tout sens. Les réalisateurs de film avait fait une erreur de calcul, un zombie c'est rapide visiblement. Karl trouvait que c'était leur point fort, il était rapide, surprenant et vivace. En revanche, il suffisait de leur loger une balle de PAMAS ou un violent coup de poing dans leur face et ils étaient renvoyé à l'état de cadavre. Mais d'où sortaient-ils ? Comment sont-ils devenus comme ça ? Attaque terroriste microbiologique ? Mise en scène ? Reconstitution d'une invasion extra-terrestre ? Tant de questions qui ne pouvaient être résolus. Des questions qui aurait pu se présenter à Karl, mais dans l'état d'alerte instinctif qu'il se trouvait, il ne répondait plus présent psychiquement. D'où sortait-il ses facultés de combat si performantes ?

En se retournant, il vit un gamin, et l'homme antimilitariste avec une sorte de marteau. Ça lui rappela qu'il avait perdu son arme. Il ramassa le flingue non sans aisance. Un zombie encore debout trainait dans le coin. Une balle suffit..

Un vacarme dehors se fit entendre. Ça se rapprochait à grande vitesse de leur voiture.

Les renforts ? Le ménage à grandes eaux, ou à grandes rafales métalliques plutôt... Il se mit à crier :
- TOUT LE MONDE AU SOL !!!

HP : La suite.
Cette fin corresponds à la fin de la première partie et non pas la fin de la mission.

P : Teincher

Après le déluge de feu, les assauts au niveau des portes et de la fenêtre s'arrêtèrent. Et les derniers zonzons venant de l'arrière ont rebroussez, ou tout du moins, changer de destination.





Un soldat en
uniforme de combat et masque à gaz sur le visage fit son entré dans le wagon.



*Soldat (voix forte déformé par le masque à gaz) :
Personne ne bouge. Bien, RAS !!! Sortez du wagon quand je vous en donnerais le
signal. (HP : le soldat contrôle visuellement chaque passagers et lui donne une tape sur l'épaule avec sa main gauche - la droite tient un FAMAS - pour lui dire de sortir)




En disant
cela, deux autres soldats firent leur entré et montérent vers l'avant du train. Quelques tirs se firent entendre pour neutraliser les derniers zonzons.
La porte arrière du wagon s'ouvrit et d'autres soldats entrèrent.
Les premiers passagers commencent à sortir.
Quelqu'un peut entendre, à partir de la radio d'un des soldats :
//Demandez d'autres ambulances, il y a pas mal de blessé.




// A vous



Info
supplémentaire :

-Si un soldat
vous voit avec une arme, il vous "demandera" de la poser au sol.

-vous sortez
tout au fur et à mesure, et au dehors, vous verrez trois jeep et
trois camions de l'armée à proximité du wagon (surement d'autres véhicules tout
le long du train). Il y en face de vous un peloton de soldat en armes qui
surveillent votre descente, ainsi qu'un gradé (lieutenant). Deux soldats avec un brassar médical vous font signe
de les rejoindre au delà du peloton, où vous verrez une camionnette de la croix rouge.

ah et au fait : bonne année

P : Schultz
« Karl : TOUT LE MONDE AU SOL !!! »


Que..? Mon corps réagit tout seul avant que je ne comprenne, dès le premier coup de feu je me jette instinctivement à terre. Quoi ? Les balles sifflent dans tous les sens, on les entend percuter la "carrosserie" du train. La cavalerie ? Mon Dieu, dites moi que c'est la cavalerie...
Les fusils crachent toujours. Je suis couché à plat ventre, les mains sur la tête, les yeux fermés. Je sens des petites particules me tomber dessus. Des débris de verre, sans doute.

...un certain temps s'écoule...

... Hmmm ? On dirait que c'est finit, mais je ne sais pas depuis combien de temps. Je lève la tête, ouvre les yeux. La plupart des survivants sont déjà en train de se relever, et un soldat "sous vide", comme je les appelle, nous observe sous son masque. V'la aut'chose ; qu'est ce qu'il fout là, celui là !?

Je mets discrètement le marteau brise vitre dans ma poche intérieure avant de me relever au milieu des autres passagers. Quelques coups de feu se font entendre dans le wagon arrière, puis plusieurs soldats, dans leur combinaison eux aussi, entrent par la porte arrière.
Le premier soldat-bulle commence à inspecter les passages un à un, avant des les envoyer sortir. Il arrive à notre niveau. Il inspecte la commissaire. Merde ! les menottes ! on va éviter les emmerdes, je rentre le bracelet vide dans ma manche de veste discrètement.

« Catherine : »
HP : à toi de voir comment tu réagis, missb ; si tu ne veux pas que cela se passe comme ça j'éditerai ^^

Il arrive à mon niveau. Il observe de haut en bas, fait quelques écarts de la tête pour mieux m'examiner. Qu'est ce qu'y a, pourquoi il met aussi longtemps ? Il me tape enfin sur l'épaule. Je commence à avancer, puis il avance vers Petit Jean. Je me dirige vers la sortie.

Sorti du wagon, on se croirait presque en plein jour, tant les projecteurs montés sur les 3 jeeps présentes sont puissants. Juste à la sortie, un soldat-toubib me fait signe d'aller vers un autre soldat toubib. Je peux apercevoir une camionnette de la croix-rouge un peu plus loin. Ok, capiche.
Tiens, c'est Julie Lescaut qui est devant moi. Elle est presque au niveau du second soldat-médecin, quelques mètres devant moi. Je trottine jusqu'à son niveau pour la rattraper.

« Moi : Excusez-moi, mais ; je voulais vous remercier. Il faudra aussi retrouver ce colosse, mais je vous doit une fière chandelle à tous les deux. Sans vous, j'aurai pu... Je me passe la main gauche dans les cheveu nerveusement. Enfin... Bref, merci. Je m'appelle Danny. Schultz. Tout en lui tendant la main.

Catherine : »

Tiens, du coin de l'œil, j'aperçois Petit Jean qui sort à peine du wagon. Il en ont mis du temps, avec lui !

J'étais effrayé, les coups de feu sans cesse qui résonnaient dans mes oreilles m'avaient étourdie. Voilà un pelo avec un famas qui tire sur les horreurs, mais ou a-t-il eu ce flingue merde ?!??! pensais-je

Partout autour de moi je voyais des éclairs, je me retournais sans cesse, en alerte.

En voilà un qui me fonce dessus !!! Je me jeta en position assise sur un siège près de moi, j'ai hésité un quart de seconde avant de lui asséner un coup de pied phénoménale dans le ventre, ce qui le coupa en deux. Ma respiration avait à peine eu le temps de s'emballer, c'est qu'a^rès coup.
Puis un instant je me perdis dans des pensées absurdes : C'est le premier homme de ma vie que j'ai tué .... Si on peut appeler ça un homme ... Non ce n'en est pas un, tout va bien ..
J'étais encore un peu sous le choc, certains s'étaient aussi battu au corps à corps, en y laissant des blessures. Un homme saigne affreusement, on dirait ... : une morsure, c'est abominable .....

Le dernier coup de feu résonna, comme pour marquer un grand moment de silence, tout le monde resta figé quelques secondes, avant de se relever, et de voire que plein de militaires arrivaient dans le wagon (avec des combinaisons bactériologiques O_o). Je crois que c'était un des meilleurs moment de ma vie ... J'étais heureux de voire ces gens armés prêt de nous pour nous rassurer et nous défendre.

On m'ausculte des yeux : "c'est bon" me dit le militaire en me faisant un grand sourire protecteur qui me rassura encore plus.

J'allasse dehors, j'étais ébloui par les jeeps et les projecteurs pointés sur nous, on aurait dit un film.... J'avance avec les autres vers les toubib, je tremble encore mais je suis soulagé.

P : Kabrial
Après avoir gueulé comme un dingue Kabrial s'était jeté au sol. Comme si on avait enlevé une carte à la base d'un château de carte, tous les passagers avaient fait pareil. Peut-être certains membres avaient-ils reçu des débris voire des balles, de celles qui ôtent la vie.

Ça dura un certain moment. Puis le silence. Un silence bruyant. Ce genre de silence qui suit un cataclysme. Les passagers se trouvaient dans l'œil d'un mystérieux cyclone. Un cyclone fait de choses absurdes, invraisemblables, et pourtant ce qui venait de se passer avait réellement eu lieu. L'atmosphère si électrique, si tendu ne pouvait être le théâtre d'une mise en scène militaire ou d'un autre objet.

*Soldat (voix forte déformé par le masque à gaz) :
Personne ne bouge. Bien, RAS !!! Sortez du wagon quand je vous en donnerais le signal.

Le soldat avancé avec précaution et vigilance. ça craint, pensa Karl. Malgré la situation, Karl avait repéré l'homme aux menottes qui esquissa un mouvement. Cet homme c'était son seul "réconfort", malgré cet air Karl trouvait en cet homme quelque chose de familier, quelque chose qu'il connaissait bien. C'était peut-être la seule personne ici qu'il sentait comme vraiment humain, cela le rassurait sensiblement.

Merde le PAMAS, pensa-t-il. Discrètement il cacha le flingue dans son dos, bloqué entre sa ceinture et sa le haut de sa fesse, chemise mise par dessus. Il comprit que l'homme aux lunettes avait réagit plus rapidement, en fait il venait de cacher également son arme.

Le soldat s'occupait de chaque passager. Il donnait son feu vert pour l'autorisation de sortie. Il arriva au niveau de Kabrial. Ce dernier l'examina attentivement, voire longuement. Karl saignait beaucoup au visage et à ses avant bras que les manches de la chemise retroussée n'avaient pu protéger des débris de verre au sol lorsque ce dernier plongea au sol. Afin de confirmer la nature de ses blessures Karl s'exprima :

Ce ne sont que des blessures légères, ils ne m'ont pas eu !

Le militaire avait pensé à haute voix, il fallait bien amenuiser les soupcons. Ce dernier lui donna une tape sur l'épaule. Karl se dirigea vers la sortie. Une lumière vive pénétrait cette obscurité. On aurait pu bronzer devant ses spots tellement ça éblouissait. Près du wagon se tenait quelques véhicules militaires : jeeps, camions, des soldats, des secours...

En tournant la tête, Karl aperçut la femme flic et l'homme aux menottes. Ce dernier le regardait du coin de l'œil.

Karl alla les rejoindre.

Hp : Teinch

finalement, je vous laisse un jour de plus avant le gros message.
Je vous laisse un choix à faire.

P : Conteur

Les passagers sortirent du train. Le temps est frais, voir froid. Certains ont laissés leurs vestes dans le train. En tout cas, tous ont perdu leurs affaires. Un passager (en dehors des réalités) fan de Star Wars interpella un soldat

"Quand est-ce que je pourrais récuperer ma valise? j'ai une armure de sandtrooper à l'intérieur".

Le soldat lui répondit froidement par un "avancer, ne rester pas là, c'est dangereux".

Un soldat médecin (simple infirmier en vérité) examine d'un coup d'oeil les passagers et redirige ceux qui ont des plais ouverte vers l'ambulance (dont toi Karl). Les autres sont invités à rejoindre le camion un peu plus en arrière. Schultz et Weemba (hp: dsl, j'ai oublié le vrai nom de ton perso) sont emmené ensemble vers le camion le plus proche, avec un autre groupe de passager.

Karl se retrouve donc devant la camionette de la croix rouge. Un infirmier civil s'approche de lui.

-Infirmier : Bonjour, je vais nettoyer un peu vos blessures, ca n'a pas l'air très beau.

L'infirmier sortie une trousse de secours et en même temps qu'il commence à nettoyer tes blessures, il te parla, comme pour se réfugier dans le travail face à ces horreurs.

-Infirmier : Je vous mets un pansement au départ, mais il faudra attendre ici un petit moment pour les points de suture. Je dois m'occuper des autres aussi. Vous pourrez partir surement avec le second convoi de camion. On va prendre soin de vous.

// Pendant ce temps, au premier camion

Les soldats présent invite les civils à monter dans le camion, pour une évacuation vers la base de Chalons en Champagne (hp : info -> ICI).
Les premiers passagers montent.

// Croix rouge

L'infirmier qui prenait soin de Karl s'arreta (les plaies sont nettoyés mais pas suturés). Un brancard arrive vers la camionette. Un soldat blessé est dessus (il n'a pas de combinaison sur lui... serait-ce Hicham?) il est inconscient et apparement amoché.

-infirmier : je dois vous laisser, ce patient est prioritaire, attendez moi ici.

-Karl :

// Le moteur du premier camion est mis en marche, les derniers passagers montent... il s'agit de Weemba et Schultz ...

// A vous

P : Kabrial
Au moment où Karl allait grossir les rangs du groupe de l'homme aux lunettes, Karl passa devant un soldat médecin qui le redirigea vers l'ambulance. Encore raté pour les présentations, pensa-t-il.

Une camionette de la croix rouge se tenait devant lui, un homme s'approcha. C'était un infirmier civil. Karl recouvait peu à peu ses esprits mais restait néanmoins dans un état de vigilance minimal. Cet infirmier civil aurait pu être l'une de ses créatures affreuses, sait-on jamais ce qui peu débouler. L'ambiance était vraiment propice pour rendre paranoiaque même les plus névrosés.

-Infirmier : Bonjour, je vais nettoyer un peu vos blessures, ca n'a pas l'air très beau.

Peu importe que ce ne soit pas beau mais je me vide de mon sang, presse-toi, pensa Karl. Ses blessures ne faisaient pas vraiment mal, Karl n'était pas une fillette, mais son sang coulait beaucoup, il pouvait être affaiblit assez rapidement si l'on n'agissait pas en conséquence. 'infirmier sortie une trousse de secours. Avec le matériel prévu à cet effet, il commenca à nettoyer les blessures. On sentait qu'il était dépassé par les événements, curieux pour un militaire. Mais après tout, derrière cet uniforme se cachait un homme avec un coeur et surtout des tripes. Des tripes que ces horribles choses n'hésiteraient pas à déchiqueter. Les militaires combattaient pour habitude tout sauf des choses inhumaines. Soudain l'infirmier s'exprima.

-Infirmier : Je vous mets un pansement au départ, mais il faudra attendre ici un petit moment pour les points de suture. Je dois m'occuper des autres aussi. Vous pourrez partir surement avec le second convoi de camion. On va prendre soin de vous.

Un brancard arriva a moment même où l'infirmier venait de terminer de nettoyer les plaies. Le soldat infirmier opérait par priorité.

-infirmier : je dois vous laisser, ce patient est prioritaire, attendez moi ici.

-Karl : C'est ça... ne tardez pas trop sinon c'est un mort de plus que vous retrouverez au retour...

Impatient et impulsif, Kabrial, attendit que l'infirmier ait disparu de son champ de vision pour s'approcher du matériel médical. Sans attendre davantage, il prit une trousse de secours qui semblait contenir bien plus que les trousses ordinaires, certainement qu'il y avait de quoi recoudre des plaies. Discrètement il s'eclipsa et il marcha en direction du premier camion. Le moteur tourné déjà...

P : Schultz

Les bidasses nous regroupent et nous guident vers des camions, par petits groupes. Tiens, y'a l'autre là, qu'était à mes cotés pendant le bordel. Je m'approche de lui. Je lui tends la main, tout en continuant à marcher.

« Moi : Bonjour, on s'est vus tout à l'heure dans le train, quand ces choses ont commencé à rentrer. Je m'appelle Danny, enchanté.

Weemba :

Moi : Que pensez-vous qu'étaient ces choses ? Personnellement je préfère ne pas le savoir. Je compte bien rentrer chez moi, en sécurité, et ne plus approcher ce genre d'aberration. »

Nous arrivons finalement à un camion. Les civils comment à y entrer par l'arrière. Le chauffeur démarre le camion alors que nous ne sommes même pas tous rentrés ; ils sont bien pressés je trouve. Tiens, la brute qui a déglingué la barre d'appui pour me sortir de la merde sort de la camionnette croix-rouge en avançant vers nous. Il a l'air pressé.

Me voilà regroupé avec d'autres personnes pour aller au camion. Les toubibs sont surpassés de part et d'autres, une sorte de file d'attente est improvisée, chacun est pressé de quitter cet endroit au plus vite.
Tiens, vlà le fumiste qui s'approche :

shcultz : Bonjour, on s'est vus tout à l'heure dans le train, quand ces choses ont commencé à rentrer. Je m'appelle Danny, enchanté.

Moi : Bonsoir Je m'appelle John, ravie de faire votre connaissance, même dans de telles circonstances.

schultz : Que pensez-vous qu'étaient ces choses ? Personnellement je préfère ne pas le savoir. Je compte bien rentrer chez moi, en sécurité, et ne plus approcher ce genre d'aberration. »

Moi : Eh bien c'était la première fois que je me retrouvais confronter à de telles horreurs.... J'ai bien cru que c'était la fin. Vivement que cette histoire se termine.

Nous voilà à hauteur du camion, le moteur chauffe déjà. Belle organisation .... Nous nous installâmes.
Le gros balèze trottine en direction du camion, que compte-t-il faire ?

HP : modifié ^^

HP :Mode rapidos

P :


Le camion de l'armée de Terre démarre et avance.
A son bord, l'ambiance est à couper au couteau. La plupart des civils ne parlent pas (hp : les PNJ). Trois militaires sont dans le camion, un au niveau de l'entrée à l'arrière du camion, un second au coté du troisième, au milieu du camion. Ce militaire a le bras bandé. Eux non plus ne parle pas.

HP : Si vous voulez faire connaissance, c'est maintenant

Alors que vous vous éloignez, vous pouvez entendre des coups de feu épars.

//10 minutes plus

Vous entrez en ville. Personne n'est dans les rues. Les sirènes de la ville sonnent (celle que l'on entends tout les 1er mercredi du mois). Des camions militaire vous croise dans l'autre sens.
Mais pas de coup de feu.

Le camion tourne brutalement au niveau d'un carrefour et vous voilà dans une base militaire. (http://fr.wikipedia.org/wiki/1re_brigade_m%C3%A9canis%C3%A9e)

Le camion s'arrete dans une cour. Il pleut.

Le soldat ouvre le battant arrière et vous invite à descendre.

-Soldat : On vient d'arriver, vous pouvez descendre. Rester au niveau du camion, je ne sais pas qui va vous prendre en charge.

Les premiers descendent. Vous pouvez voir un nouveau camion descendre. Ainsi que des hommes et femmes^^ armes à la main monter dans un autre camion. Un capitaine discute avec un lieutenant, à environ 10 mètres de chez vous.

Vous n'entendez pas la discussion, mais une phrase vous parvient, car presque crier

// Tout ca à cause de ces foutu écoterroriste \\

Les militaires de votre camions sont partis. Le camion est aussi parti se garer. Vous restez seul au milieu de la cour. Sous la pluie.

//A vous

//A vous

P : Conteur

Le groupe de civil reste sur place, sous une pluie qui devient battante.

Un soldat, avec une bâche sur la tête court vers vous.

-Soldat : Ne restez pas là, venez dans la caserne (il désigne un batiment à 100mètres sur votre droite). Un officier veux vous débriefer. On vous servira un peu de café et un truc à manger.

Il vous examine de la tête au pied

-Soldat : En tout cas, je suis content de voir que vous n'êtes pas trop blessé... on s'attendait à voir plus de dégats après cette action des militants anti-nucléaire. Allez suivez moi

// A vous...bis ^^